Paru le: 30-04-2025
Editeur: Les éditions Ovadia
Isbn: 978-2-36392-622-7
Ean: 9782363926227
Prix: 20 €
Caractéristiques:
174 pages
Genre: Cinéma
Thème: Art
Thèmes associés:
La Lanterne Magique
Journal d’un Cinéphile Cannois
Il faut se souvenir que l’image animée n’existe pas à l’époque. Pas de télévision, pas d’écrans de pub dans les rues et aux devantures, l’unique source d’images animées ne pouvait naître que dans ces salles que l’on appelait des cinémas.
Bernard Oheix, après deux maîtrises et un DEA, devient directeur de la Maison des Jeunes et de la Culture avant d’intégrer l’Office de la Culture de Cannes en tant que directeur-adjoint. Nommé directeur de l’Évènementiel au Palais des Festivals de Cannes, il y restera 22 ans, programmant plus de 3000 spectacles, et vivant chaque mois de mai, une plongée dans le cœur de sa passion cinéphilique. La Lanterne Magique — Journal d’un Cinéphile Cannois est son quatrième livre.
Le cinéma comme une aventure : coincé dans le faisceau d’un projecteur, hanté par les volutes d’une histoire en train de se créer sous nos yeux, poursuivi par la magie des images animées. C’est une vie de passions que nous conte l’auteur de ce livre, qui virevolte autour de cette lanterne magique qui illumine le noir, de l’impossible mythe d’une perfection sur l’écran de nos désirs. Le cinéma comme une aventure : coincé dans le faisceau d’un projecteur, hanté par les volutes d’une histoire en train de se créer sous nos yeux, poursuivi par la magie des images animées. C’est une vie de passions que nous conte l’auteur de ce livre, qui virevolte autour de cette lanterne magique qui illumine le noir, de l’impossible mythe d’une perfection sur l’écran de nos désirs. Une histoire de cinéphilie, quand il n’y avait aucun reflet de la vie réelle et des vents de l’ailleurs. C’est dans l’écriture qu’il trouve une raison d’exister, juste entre les mots et les images ! Ses premiers pas dans les pages des journaux et des livres, ses films coup de cœur qui l’ont enflammé, ses rencontres... Toute une collection de souvenirs qui nous racontent une histoire du Cinéma et permettent un autre regard sur la cinéphilie d’aujourd’hui.
« J’ai échappé une nouvelle fois à la surveillance de ma mère. (...) Je me faufile dans le bruit électrique d’une musique et de mots que je ne comprends pas. Ce n’est pas grave ! J’ai l’habitude et même pas peur ! Je m’assieds sur un des fauteuils, mes pieds ballants dans le vide. Il fait noir, mais en levant la tête, je vois un pinceau de lumière qui jaillit d’une ouverture en scintillant. (...) »
J’ai échappé une nouvelle fois à la surveillance de ma mère. Il faut avouer qu’avec mes deux frères et tout le travail de la maison, elle a fort à faire. Il y a toujours un moment où je peux franchir la porte, traverser la petite cour et ouvrir les deux battants qui me permettent de pénétrer dans ma caverne mystérieuse ! Je me faufile dans le bruit électrique d’une musique et de mots que je ne comprends pas. Ce n’est pas grave ! J’ai l’habitude et même pas peur ! Je m’assieds sur un des fauteuils, mes pieds ballant dans le vide. Il fait noir, mais en levant la tête, je vois un pinceau de lumière qui jaillit d’une ouverture en scintillant.J’ai échappé une nouvelle fois à la surveillance de ma mère. Il faut avouer qu’avec mes deux frères et tout le travail de la maison, elle a fort à faire. Il y a toujours un moment où je peux franchir la porte, traverser la petite cour et ouvrir les deux battants qui me permettent de pénétrer dans ma caverne mystérieuse ! Je me faufile dans le bruit électrique d’une musique et de mots que je ne comprends pas. Ce n’est pas grave ! J’ai l’habitude et même pas peur ! Je m’assieds sur un des fauteuils, mes pieds ballant dans le vide. Il fait noir, mais en levant la tête, je vois un pinceau de lumière qui jaillit d’une ouverture en scintillant.Et quand je regarde devant moi, c’est l’illumination.
